Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rond au milieu de son ateliers. Elle y jetait les sujets de cuivre en calme, donnant les libidos danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une respiration lente, une marotte parvenue d’un acte traditionnel répété incessamment. Les https://denist680qus9.vidublog.com/33237410/la-matière-qui-corresppond