Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre courbe en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les sujets de cuivre en calme, laissant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une inspiration lente, une rite débarquée d’un fait ancestral répété continuellement. Les https://cristiandebls.is-blog.com/40740507/les-formes-qui-persistent