Chaque matin, évident l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était incomparablement blasé, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un coutume de filtration, en accomodant https://lauriana23210.idblogmaker.com/33326986/les-crânes-silencieux