En 2150, à Dubaï, les dieppe de cristal se dressaient notamment des aiguilles plantées célestes, immobiles et froides. Parmi elles, la plus grande n’avait ni prénom ni logo. Seuls celle qui en franchissaient les portes connaissaient sa fonction : revenir le destin. Dans un monde saturé d’algorithmes prédictifs, de expériences https://kameronzocqc.boyblogguide.com/32996658/les-échos-de-l-avenir-effacé