Dans l’atelier de reliure, la illumination tremblante des chandelles faisait danser des obscurcissements sur les murs en pierre. L’odeur du cuir tanné et de l’encre fraîche flottait dans l’air, imprégnant chaque recoin du petit usine romain où le relieur travaillait journaliers avec une précision presque sacrée. Il n’avait jamais refusé https://cruzpmleu.tokka-blog.com/34079370/l-encre-du-destin