Le théâtre s’élevait au cœur de la ville, acculant malgré ses murs fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné depuis plus d’un siècle, il avait dans les temps anciens admis les grands musiciens de son ère. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses voies désertes. Arthur poussa https://andrelruya.blogchaat.com/33861454/la-dernière-inspiration-suspendue